Toute publicité est aisément critiquable. Ce qui est logique puisque l'on exprime un ressenti immédiat. Et c'est cela la publicité, une réaction instinctive, "on aime ou pas".
Passons le débat un peu lassant sur la pub pour les blondes, taxée de sexiste. Moui, c'est bon pour le buzz, pas si bad que ça.
Et revenons sur le ton de la campagne, entre GQ et Vanity Fair, en passant par Monoprix (pour le côté grande conso). Et là on imagine l'agence de pub, nouvelle, clamant qu'ainsi elle déringardise l'enseigne leader. Possible en effet.
Mais là où l'on peut ne pas comprendre, c'est le discours énoncé par Darty, dans les échos, où l'enseigne déclare entre autres que Darty "a une image assez froide, plus chère qu'elle ne l'est, et que l'affichage est un media de proximité et populaire". Et là, on se dit que la pub reflète absolument l'inverse. Darty trop subtil pour nous ? Peut-être. Mais il aurait sûrement fallu attendre un peu que les magasins se mettent au diapason du Darty Beaugrenelle, une réussite que nous avons filmée.