Avec la miniaturisation des appareils électroniques et la multiplication des objets connectés, les piles boutons au lithium sont devenues un objet incontournable du quotidien des Français. Rondes, compactes et de forte puissance, on les retrouve dans de nombreux objets du quotidien (télécommande, pèse-personne, jouet, clés de voiture, appareil photo numérique...).
Aujourd’hui, 1 foyer sur 5 achète des piles bouton au lithium au moins une fois par an, le marché porté par la multiplication des appareils électroniques est en forte croissance (+44% en 2019) (1).
Mais si elles rendent de grands services, les piles boutons au lithium peuvent aussi représenter un danger pour les jeunes enfants lorsqu’elles sont ingérées. Petites et brillantes, elles attirent l’œil des plus petits qui peuvent être tentés de les mettre à la bouche.
Chaque année, en France plus de 1 200 visites à l’hôpital (2) sont liées à l’ingestion des piles boutons au lithium. En plus du risque d’asphyxie, leur ingestion peut causer des dommages irréversibles à l’organisme brûlure de la muqueuse de l’œsophage, ulcération voire perforation de l’estomac, hémorragie pouvant mener au décès..
La substance innofensive la plus amère au monde
Duracell a donc décidé de prendre cette problématique de santé publique à bras le corps. Déjà en 2017, la marque avait travaillé avec des experts de la petite enfance et grâce à un laboratoire R&D en interne, propose des emballages ultra-sécurisés limitant le risque d’ingestion. En 2018, elle ajoute sur ses emballages et sur ses produits des avertissements consommateurs pour prévenir des risques liés à l’ingestion des piles boutons au lithium. Aujourd’hui, elle ajoute un nouveau niveau de sécurité pour limiter les risques d’ingestion par les plus petits.
Ainsi, dès janvier 2020, Duracell intègre sur un côté de ses piles boutons au lithium un sticker imbibé de benzoate de dénatonium, la substance la plus amère au monde. Cette substance est déjà utilisée par de nombreux fabricants de produits d’entretien ménagers (dosettes de lessives), cosmétiques (shampoing) et produits de jardinage pour son amertume. Elle est totalement inoffensive en cas de consommation mais peut sauver des vies. Son goût ultra-amer, même en dosage infime, réduit les risques d’ingestion et donc d’intoxication. Son goût, démultiplié pour les enfants, les fait immédiatement et instinctivement recracher la pile.
Une grand campagne de sensibilisation auprès des français
Afin d’informer le grand public, et plus spécifiquement les parents et futurs parents, aux dangers liés à l’ingestion des piles boutons au lithium, Duracell lance une grande campagne de sensibilisation intitulée Plan Sécurité Enfant.
Avec cette campagne, la marque, leader de la catégorie des piles alcalines en France avec 38% de part de marché en valeur (3), est la première à s’emparer de ce sujet de santé publique, en plaçant la sécurité des usagers et de leurs enfants au cœur de sa stratégie.
Cette campagne de sensibilisation se déroule en deux volets distincts : une campagne de communication destinée au grand public et une campagne de prévention destinée aux professionnels de la petite enfance
Sources : (1) Nielsen HMSM + Proxi + Drive + SDMP, CAM P11 2019
(2) Chiffres 2017 de l’Anses
(3) Nielsen HMSM P11 2019